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Numerik Games, télétravail, pratiques d'Internet et sondage post-COVID...
juin 2020 - 3 minutes
Numerik Games, la culture digitale grand public
C’est à Yverdon-les-Bains que se tient chaque année le grand rendez-vous de l’expression numérique sous toutes ses formes. En l’espace de quatre éditions, le festival Numerik Games est déjà devenu culte. La cinquième ne devrait pas démentir ce statut.
Numerik Games, c’est une manifestation dédiée à l’art et la culture numériques, qui aspire à valoriser et à réfléchir le digital à 360° : musique, culture, art, patrimoine, économie et académie se cherchent, se croisent et se percutent avec bonheur depuis 2016 sur le site d’Y-Parc à Yverdon-les-Bains. Le festival se plaît à surprendre son public par une programmation qui, à chaque édition, cherche à créer des échos et susciter des émotions autour d’une idée, d’un thème que l’on devine au détour des diverses activités qui y sont proposées, entre art de rue, conférences, ateliers ou encore performances artistiques. Cette année, c’est aux sonorités du cirque que résonnera le festival.
Questions et émotions
Dès sa création, Numerik Games s’est donné pour mission d’interpeller et interroger sur la présence du numérique dans nos vies, les émotions qu’il suscite au travers de ses expressions artistiques ou encore les questions qu’il sou- lève dans le débat public. Selon Marc Atallah, directeur de Numerik Games, « l’âme du festival réside dans le fait même d’ouvrir le champ des connaissances du numérique, faire éprouver aux visiteurs des sensations inattendues et les faire se questionner sur notre univers social, le tout dans une ambiance festive, au détour d’un concert, d’une exposition ou d’une performance artistique ». Un concept inédit porté par la Maison d’Ailleurs, dont Marc Atallah est le directeur, et qui a séduit la Ville d’Yverdon- les-Bains, partenaire du festival depuis sa première édition.
Organisée sur le modèle des Jeux olympiques (d’où son nom de Numerik Games), la manifestation propose plusieurs disciplines autour de ce point commun qu’est le digital. Avec pour but ultime de montrer la diversité de la créativité numérique au plus large public, qu’il s’agisse de spécialistes, de néophytes, de gamers, de passionnés ou tout simplement de curieux de nature. Un pari réussi puisque tous ces différents publics répondent présents chaque année et font de ce festival sans pareil un rendez-vous incontournable de l’agenda culturel suisse romand.
« L’âme du festival
réside dans le fait
même d’ouvrir le champ
des connaissances »
Comment le télétravail a-t-il été mis en place par Retraites Populaires lors de l’épidémie Covid-19?
« L’instauration du télétravail a été très rapide. Tous les collaborateurs avaient déjà été équipés de lap-tops, leur permettant de travailler à la maison. Ce dispositif a permis de passer en mode télétravail en moins de 48h , grâce entre autres au gros travail de coordination fourni par les équipes IT.
La plus grande partie du courrier étant directement digitalisé par des équipes de scannage et réparti dans les différents services via une plateforme de gestion des documents, les collaborateurs ont pu continuer à traiter les demandes clients comme d’habitude.
La communication s’est faite via des outils tel que Webex qui permet de conduire les séances en visio-conférence de manière sécurisée. Ainsi, le management a pu garder un lien étroit avec les équipes et les projets ont pu se poursuivre. On a pu constater l’essor de café-séances virtuelles qui ont remplacé les conversations de cafétéria, permettant de conserver une dynamique d’équipe et d’entretenir le lien avec tous les collaborateurs. »
Le chiffre
Plus de 9 personnes sur 10 utilisent Internet en Suisse.
Parmi celles-ci, 8 sur 10 utilisent un smartphone pour se connecter en dehors du travail ou de la maison. En moyenne, les Suisses passent un peu plus de 5 heures par semaine sur la toile. Plus des deux tiers consultent régulièrement les réseaux sociaux, en premier lieu Facebook et Instagram.
Big data
Les technologies de traçage à distance ont permis de freiner l’évolution de la pandémie de coronavirus en Corée du Sud, en identifiant précisément les porteurs du virus. Une technique qui porte toutefois atteinte à la protection des données. Doit-on sacrifier une partie de notre vie privée pour le bien de la communauté ?
La question
Comment le télétravail a-t-il été mis en place par Retraites Populaires lors de l’épidémie COVID-19 ?
L’instauration du télétravail a été très rapide. Tous les collaborateurs étaient déjà équipés de laptops, leur permettant de travailler à la maison. Ce dispositif, et entre autres le gros travail de coordination fourni par les équipes IT, a permis de passer en mode télétravail en moins de 48h.
La plus grande partie du courrier étant directement digitalisée par des équipes de scannage et répartie dans les différents services via une plateforme de gestion des documents, les collaborateurs ont pu continuer à traiter les demandes clients comme d’habitude.
La communication s’est faite via des outils tels que Webex, qui permet de conduire les séances en visioconférence de manière sécurisée. Ainsi, le management a pu garder un lien étroit avec les équipes et les projets ont pu se poursuivre. On a pu constater l’essor de café-séances virtuelles qui ont remplacé les conversations de cafétéria, permettant de conserver une dynamique d’équipe et d’entretenir le lien avec tous les collaborateurs.
